Le magazine So Foot fait le bilan de l’Euro

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+ Avant-match

Comment reconnaître un champion d’Europe? Indice: il cadre ses tirs.

Photobomb. RIP, Toni Kroos!

Infiltré. Les Tchétchènes aussi ont eu droit à leur Euro: c’était début juin, à Strasbourg. Et évidemment, ça s’est mal terminé.

20 questions à Daniel Brühl, le plus espagnol des Teutons.

Jour après jour. Un mois d’ennui, de saxophone et de trains en retard.

+ Power List

Euro Masters. Les 20 bonshommes sans qui on se serait vraiment emmerdés en Allemagne.

+ Reportages

La planète Bleus. Pas de jeu, peu de buts et guère d’émotions. La France a traversé son Euro recroquevillée sur elle-même, enfermée dans une bulle que seul le contexte politique a, parfois, réussi à percer. Récit d’un bad trip.

L’autre maillot. Distribué gratuitement, il a inondé l’Allemagne tout au long de l’Euro. Voici l’histoire du “maillot du peuple”.

La croisade géorgienne. Sensation de l’Euro, la sélection géorgienne n’a pas seulement offert des nuits de liesse à tout Tbilissi. Elle a aussi rapproché le pays de l’Union européenne, alors que l’ingérence russe menace.

L’avis des autres. Cet été, l’Euro a oublié l’Allemagne de l’Est, là où l’extrême droite fait ses meilleurs scores. Virée en Saxe, sur ces terres oubliées.

Un p’tit Turc en plus. Le premier est capitaine de l’Allemagne. Le deuxième vice-capitaine de la Turquie. İlkay Gündoğan et Kaan Ayhan viennent tous les deux de Gelsenkirchen, une terre de mineurs où les débats sur la binationalité sentent un peu moins mauvais qu’ailleurs.

+ Table ronde

“Le jeu est de plus en plus lent”. Sept coachs de différents pays décortiquent ce qu’ils ont vu sur le terrain pendant ce mois de compétition. Et ce qu’ils auraient préféré voir.

+ À la culotte

Niclas Füllkrug. En quête de nouveaux héros, la classe moyenne allemande a jeté son dévolu sur cet attaquant édenté tout droit sorti des années 1980. Celles où la Nationalmannschaft faisait encore peur.

Dani Carvajal. L’Espagne a brillé grâce à ses pépites, et a tenu dans les moments les plus compliqués grâce au dernier grand salopard du football mondial. Un homme pas vraiment embêté par la montée de l’extrême droite sur le Vieux Continent.

+ Enquête

Jude Bellingham. À la fois décevant et sauveur des siens, Jude est surtout devenu une formidable source d’inspiration pour les startuppeurs et recruteurs anglais adeptes des posts LinkedIn sur le leadership. Plongée en enfer.

+ Culture foot

Cristian Mungiu. Le vainqueur de la Palme d’or 2007 n’est pas forcément le type avec qui on aurait envie d’aller en soirée. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un œil avisé sur sa Roumanie natale, l’une des belles surprises du tournoi.

+ Décrassage

Who’s who. Il a beau avoir un blase à diriger le Medef, Paul de Saint Sernin fait dans l’humour. L’occasion de voir ce qu’il a sous le capot.

Les 100 choses moins chiantes à regarder que les Bleus. Spoiler, ça n’a pas été très difficile à trouver.

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