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Arsène Wenger défend la nouvelle Coupe du monde des clubs
Noyer le poisson.
Révélé dimanche, le nouveau format de la Coupe du monde des clubs, qui passera à 32 équipes, a beaucoup fait parler. Des critiques ont même commencé à émerger, par exemple de la part de Bernardo Silva, auxquelles Arsène Wenger a tenu à répondre dans un communiqué de la FIFA. Le directeur du développement mondial de l’instance défend cette nouvelle formule, semblable à la Coupe du monde. Il explique que cette compétition aidera les clubs du monde entier, qui « disposeront de plus de ressources pour se développer et être compétitifs ». L’idée serait ainsi de donner « plus d’opportunités à plus de joueurs dans le monde entier de jouer et de se confronter au plus haut niveau », pour que « le football devienne vraiment mondial ».
Concernant le repos des joueurs et leur santé, qui est le point le plus sensible de cette réforme, l’ancien manager d’Arsenal reconnaît un calendrier « chargé », mais insiste sur le fait que « le bien-être des joueurs s’est également considérablement amélioré au cours des 20 dernières années ». Les acteurs du jeu devraient donc être capables d’assumer des saisons de 80 matchs pour certains. En argument supplémentaire, Arsène Wenger avance qu’il « n’est pas rare de voir des carrières internationales durer plus de 20 ans », chose impossible auparavant. La VAR est aussi utilisée comme argument de protection des joueurs, ceux-ci sachant désormais « qu’ils pourront être sanctionnés lors d’un mauvais tacle qui cause, de fait, des blessures ».
Sauf qu’une fois que le mal est fait, c’est déjà trop tard, VAR ou non.
CD