S’abonner au mag

ACTU MERCATO

Un vendredi ibérique sur le marché des transferts

Par la rédaction de SoFoot.com
Un vendredi ibérique sur le marché des transferts

L’OM qui tient enfin sa première recrue en la personne d’Álvaro Gonzalez, le retour de Manu García en Espagne et le départ éventuel de Rafael Leão à Valence offrent un accent fortement ibérique à cette journée mercato. Sans compter le fait que c’est un 19 juillet que Ronaldinho a rejoint le Barça.

Ils ont embrassé leur nouveau maillot

Álvaro Gonzalez à l’OM

Por fin. L’Olympique a annoncé sa première recrue estivale en la personne d’Álvaro Gonzalez. Le défenseur central espagnol est prêté par Villarreal avec une option d’achat automatique. Si Gonzalez est aussi rapide que son patronyme peut le laisser croire, ça peut être un bon plan pour une défense centrale qui a vu passer Rolando et Rami ces dernières saisons. Depuis Lucho, l’OM recherche son nouveau Gonzalez.

Salvio débarque à Boca

Eduardo « Toto » Salvio retourne en Argentine. L’ailier de 29 ans a signé pour trois saisons avec les Xeneizes, après avoir baroudé du côté de l’Atlético et du Benfica. L’appel de la Bombonera a retourné sa tête.

Kosovare Asllani première recrue des féminines du Real Madrid

Galactica. Kosovare Asllani est la première recrue de la section féminine du Real Madrid, créée cette année. Passée par Paris et Manchester City, la Suédoise, finaliste du dernier Mondial, arrive de Linköpings FC.

Manu García retourne au Sporting Gijón, le club de ses débuts

L’espoir Manu García (21 ans) n’aura pas réussi à percer en France. Le meneur de jeu espagnol n’a pas vraiment répondu aux attentes après une saison moyenne du côté du TFC (34 matchs, deux buts, quatre passes décisives). Au point que Manchester City, club auquel appartenait Manu García, l’a laissé retourner au Sporting Gijón (D2), qu’il avait quitté à 15 ans pour rallier l’Angleterre. Il a paraphé un bail de cinq saisons. José plutôt que Manu.


Le projet intéressant du jour Fraîchement arrivé au RC Lens en provenance de Toulouse, Yannick Cahuzac est revenu sur la préparation d’avant-saison, ainsi que sur son arrivée chez les Sang et Or. Avec, comme toujours, la motivation du projet (et pas des couleurs du club qui rappellent celles des cartons qu’il aime tant) : « J’ai été contacté assez tôt en début d’année, puisque j’étais en fin de contrat avec Toulouse. Et on est tombé assez rapidement d’accord parce qu’ils m’ont expliqué leur super projet. Je voulais en parler d’abord avec le TFC, qui a toujours été très correct, et je ne voulais pas leur faire un enfant dans le dos. Mais finalement, mon choix s’est porté sur le Racing Club de Lens. Pour l’instant, c’est que du bonheur. »

Pourquoi Nabil Fekir doit signer au Bayer Leverkusen Selon la presse espagnole, Nabil Fekir se serait mis d’accord avec le Betis, qui lui propose un bail de cinq ans et qui a également proposé à son petit frère Yassin Fekir de venir si l’international français s’engageait avec le club sévillan. Néanmoins, Fekir vise plus haut et a préféré temporiser, laissant la porte ouverte aux retardataires. L’occasion pour le Bayer Leverkusen d’accélérer sur le dossier. Qualifié pour la prochaine Ligue des champions, Leverkusen serait la destination idéale pour Fekir, qui pourrait jouer le haut de tableau en Bundesliga et participer aux joutes européennes. Avec Sven et Lars Bender, le Bayer sait également y faire avec les fratries et on peut penser que la BayArena sera un cadre idéal pour accueillir les deux frères Fekir, qui après avoir grandi comme les princes de la ville, trouveront un nouveau défi. Du Rhône au Rhin pour mettre des coups de rein.

La photo de vacances

Sympa les bas de contention pour aller voir la finale de la CAN.


Le 19 juillet 2003 : Ronaldinho signe au Barça Le Brésilien passe non seulement la frontière espagnole, mais également un cap. Le champion du monde 2002 débarque en Catalogne pour 27 millions d’euros. Exit les embrouilles avec Luis Fernandez au Paris Saint-Germain, place au Barça. Oui, chez les Blaugrana, le génie ne vient pas pour chauffer le banc et compte bien faire comme ses aînés Romário, Ronaldo et Rivaldo. Numéro dix dans le dos, Ronnie vient avec les dents longues.

Point UNFP Comme souvent quand l’été arrive, l’oiseau libre Hatem Ben Arfa est l’objet d’ardentes convoitises espagnoles. Mais jusqu’ici, le Français n’a jamais cédé aux sirènes de la Liga : ça pourrait bien être pour cet été. Après une saison mi-figue mi-raisin à Rennes, il est temps pour Ben Arfa de croquer dans le jeu à pleines dents. Quoi de mieux que le football fin et léché pratiqué en Liga espagnole pour voir le meneur s’épanouir et retrouver ses dribbles chaloupés qui ont fait rêver les supporters et danser les défenses. Les deux clubs de Séville, si souvent associés à son nom ces dernières années, seraient idoines pour le faire débouler dans un nouveau championnat. Leganés et l’Espanyol Barcelone seraient également sur ses traces, selon L’Équipe. Qu’importe où il aille de l’autre côté des Pyrénées, il arriverait dans un environnement dénué d’a priori négatifs sur le joueur et l’homme qu’il est. L’album de la stabilité, en quelque sorte.

Et pendant ce temps-là, à l’ES Bruges (D2, Gironde)Du mouvement à l’ES Bruges, qui évoluera en D2 l’an prochain. Un nouvel entraîneur a été nommé, en la personne de Simohammed Bacha, qui sera accompagné par l’ancien de Lormont Mourad Behar, qui jouera en plus d’assurer la fonction d’adjoint. Anis Bouir intègre également le staff, mais sera toujours joueur. Au rayon des arrivées, là aussi du nouveau : Lucas Emile et Ryan Masseaux arrivent de Portes Entre-Deux-Mers, Chaouki El Azaoui passe de Lormont à Bruges, Karim Yahia, ancien de Chantecler, débarque également, tout comme Mohamed Chaedra qui a joué la saison dernière à Caudéran. Du boulot en perspective pour l’équipe qui a repris l’entraînement le 16 juillet.

À ce prix-là, Lille aurait pu s’acheter…Domagoj Bradarić (19 ans) vient de s’engager officiellement avec le LOSC contre un montant de 7,5 millions d’euros, plus 1,5 million de bonus selon L’Équipe. Cher pour un international Espoirs croate, en provenance du Hajduk Split. Mais à ce prix-là, les Dogues auraient pu claquer dix sacs à main Prada, parce que le diable habille ce bon « Brada » . Aussi, Luis Campos aurait pu financer des croisières sur la mer Adriatique aux abonnés de Pierre-Mauroy, une VHS de la finale de Coupe du monde 2018, et plein d’autres. Et surtout, Lille aurait pu rapatrier Nolan Roux et Julian Palmieri, alors qu’il s’apprête à perdre Rafael Leão et que Youssouf Koné a signé à Lyon. Et ça, ça n’a pas de prix.

Mais pourquoi tant de hype autour de Rafael Leão ?Depuis plusieurs jours, Rafael Leão est annoncé sur le départ, et le LOSC serait prêt à le laisser filer à la vue de l’intérêt de clubs comme Everton, Liverpool ou Arsenal. Mais ce serait surtout une offre estimée à 35 millions d’euros et émise par Valence qui retiendrait l’attention du club nordiste. À ce prix-là, l’opération a tout du coup de folie : car avec seulement une saison pleine dans les jambes, huit buts inscrits et deux passes décisives distribuées, Rafael Leão n’est pas une valeur sûre et le prix payé pour s’attacher ses services semble démesuré. Rien ne dit que Leão ne réussira pas, car ses qualités sont réelles, son talent avéré et son potentiel élevé. Mais s’il signe à Valence, la concurrence pourrait être rude avec des joueurs comme Rodrigo ou Maxi Gómez. À titre de comparaison, le dernier cité a été transféré par Valence pour 14,5 millions d’euros : Leão ne paraît pas forcément meilleur, mais pourrait coûter plus de deux fois plus au club valencien.

Le Cahier critiquePasser en vingt-quatre heures de la vidéo particulièrement touchante produite par le RC Lens à la médiocre bouillie insipide proposée ce vendredi par Galatasaray pour la signature de Jean Michaël Seri a quelque chose de profondément blessant pour l’âme cinéphile immortelle. À dire vrai, on ne comprend même pas, de prime abord, l’idée saugrenue qui consiste à remplacer le visage bien connu de Mario par celui du pauvre joueur associé à cette initiative. On comprend encore moins l’intérêt de le faire courir, sauter et esquiver des torrents de flammes, surtout pour une durée telle que celle choisie par les réalisateurs : à savoir, beaucoup trop longue, pour ne pas provoquer dans l’œil attentif du spectateur une crise de conscience tout à fait déplaisante. L’absurdité permanente du métrage créerait presque un état de sidération, mais ne parvient pas, malgré le vice du procédé, à masquer l’absence de mise en scène. C’est à un tel horizon d’insalubrité que le film renvoie.

Dans cet article :
Dans cet article :

Par la rédaction de SoFoot.com

Par AS, CAR, VLA & VLU

Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

Dernières actus

20
Revivez France-Belgique (2-0)
Revivez France-Belgique (2-0)

Revivez France-Belgique (2-0)

Revivez France-Belgique (2-0)

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • Pronostic Foot 100% Gratuits ! + de 100 Matchs analysés / semaine

Lille

Actus R. de Assis Moreira

Logo de l'équipe Brésil
Rodrygo (Brazil) during a International Frendly match between Brazil and Guinea at Stage Front Stadium, in Barcelona, Spain on June 17, 2023. (Photo / Felipe Mondino) (Photo by Felipe Mondino/LiveMedia/LiveMedia/Sipa USA) - Photo by Icon sport   - Photo by Icon Sport
Rodrygo (Brazil) during a International Frendly match between Brazil and Guinea at Stage Front Stadium, in Barcelona, Spain on June 17, 2023. (Photo / Felipe Mondino) (Photo by Felipe Mondino/LiveMedia/LiveMedia/Sipa USA) - Photo by Icon sport - Photo by Icon Sport
Le Brésil et la Seleção, une histoire de désamour

Le Brésil et la Seleção, une histoire de désamour

Le Brésil et la Seleção, une histoire de désamour

France