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Les notes du XV de France pendant la phase de poules
Quatre matchs pour autant de victoires : pour le moment, la Coupe du monde du XV de France se déroule sans accroc. Avant d’attaquer les choses sérieuses avec les quarts de finale, voici les notes des Bleus pendant la phase de groupes.
Ils ont tout écrasé sur leur passage
Damian Penaud
Sur son aile, il a mis la misère à ses adversaires, plaçant des accélérations foudroyantes et plongeant à six reprises derrière la ligne d’en-but. Le tout, évidemment, avec un grand sourire. Rarement un joueur a aussi mal porté son nom.
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Grégory Alldritt
Monstrueux face aux All Blacks, il a toutefois réalisé son meilleur geste technique contre l’Italie, en chambrant Lorenzo Cannone en parlant avec les mains. Ça vaut largement un point supplémentaire.
À la suite d’une mêlée, le ton est monté entre plusieurs joueurs, dont Grégory Alldritt 🥊🤬 #FRAvITAhttps://t.co/WeCxAiAJhk
— TF1 (@TF1) October 6, 2023
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Thomas Ramos
56, comme le nombre de points qu’il a enfilés face aux perches depuis le début du tournoi. À deux doigts de penser qu’il est plus habile balle au pied que son homonyme du PSG.
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Charles Ollivon
Les Néo-Zélandais ? Anesthésiés. Les Namibiens ? Pulvérisés. Les Italiens ? Éparpillés. Le grand Charles est en mission sur ce Mondial, et gare à quiconque se mettra sur son passage.
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Antoine Dupont
Un excellent début de compétition. Néanmoins, il s’est subitement éteint en seconde période contre la Namibie et a été totalement transparent face à l’Italie, ce qui ne lui ressemble guère. On espère qu’il se remettra vite en selle.
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Ils ont su saisir leur chance
Peato Mauvaka
Son grand-père fut roi de Wallis. Peato, lui, n’a ni trône ni couronne. Mais on a vite compris qu’il comptait régner en maître dans les zones de rucks et imposer sa loi sur les lancers en touche.
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Louis Bielle-Biarrey
Il était une fois un gamin sorti de nulle part, dont la vitesse, les crochets dévastateurs et l’insolence ont mis par terre bon nombre d’honorables pères de famille. Kylian Mbappé ? Non, Louis Bielle-Biarrey.
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Matthieu Jalibert
Remplacer Romain Ntamack paraissait aussi difficile que gravir un col hors catégorie. Mais lui a attaqué la pente avec un gros braquet, s’est mis en danseuse quand il le fallait et a empoché les points du classement de la montagne au sommet. Matthieu Jalabert.
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Cameron Woki
Plus impitoyable que Terminator, plus résistant que le Titanic et au moins aussi imposant que le héros d’Avatar : merci pour les travaux, James Cameron Woki.
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Ils sont revenus avec brio
Jonathan Danty
Solidité à l’impact garantie, défense rugueuse 100% certifiée, science du grattage quasiment inégalée : Danty, le contrat de confiance.
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Anthony Jelonch
On peut donc se faire les croisés fin février, être opéré dans la foulée et se retrouver en Coupe du monde sept mois plus tard, à plaquer tout ce qui passe à portée de bras. Un sacré message d’espoir.
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Cyril Baille
Au cours des premiers matchs, Reda Wardi et Jean-Baptiste Gros lui ont chauffé la place. En taulier, Cyril Baille a ensuite repris les clés du poste de pilier gauche. Et on n’ira certainement pas lui demander de les rendre.
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Ils ont raté le coche
Arthur Vincent
Francky Vincent a fait zouker des générations de Français. Arthur Vincent, lui, a valsé devant Baltazar Amaya. Comme quoi, un prénom peut tout changer.
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Romain Taofifenua
Du haut de ses 2,03 m et de ses 33 ans, Romain Taofifenua a encore beaucoup à apporter aux Bleus. Sauf que pour le moment, son principal fait d’armes du Mondial est d’avoir séché un pauvre Uruguayen. Ce qui lui a valu un carton jaune très orangé.
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Gabin Villière
Ou comment passer de cadre indiscutable du XV de départ à vulgaire remplaçant en un rien de temps. Dans le rugby aussi, tout va très vite.
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