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Les notes du PSG contre Monaco

Par Swann Borsellino
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Les notes du PSG contre Monaco

Grand classique pour la première copie de la rentrée : pendant que certains comme Dani Alves et Adrien Rabiot ont bossé pendant les vacances, d'autres comme Marco Verratti ou Javier Pastore n'ont pas ouvert un livre. Aidé par ses élèves studieux, Unai Emery s'en sort avec son premier titre de l'année. Maintenant : au boulot !

Paris Saint-Germain

Areola (4,5) : « Tout le monde est par terre avec Alphonse » , disait Michaël Youn. Dommage pour Paris, Djibril Sidibé avait vu La Beuze. Comme quoi, Paris a un vrai problème avec les Piqué cet été.

Meunier (6,5) : Peut-être que si le coup tactique « doubles latéraux » de Laurent Blanc contre l’Espagne n’a pas marché, c’est parce qu’il l’a tenté avec Debuchy et Réveillère. Tellement affuté qu’on se demande s’il n’est pas venu de Miami en courant. Désolé pour les Républicains mais à droite à Paris, on est en marche.

Marquinhos (6) : Comment ça nul n’est prophète en son pays ?

Thiago Silva (6,5) : S’il fait souvent des indigestions de gros matchs, Thiago Silva a un plat préféré : le tartare de Mbappé. 180 millions d’euros l’assiette, quand même.

Kurzawa (4,5) : Les Monégasques ont cherché Benjamin Mendy pendant 90 minutes. Les Parisiens aussi.

Verratti (2 puis 6) : Comme quoi, il n’y a pas que les Sud-Américains qui rentrent en retard de vacances. Malin, Marco Verratti a demandé à Jean-Luc Mélenchon de lui faire le coup de l’hologramme en première période. Arrivé d’Ibiza lors du deuxième acte, il a montré un bout de son vrai visage : un festival, un caviar, une poussette, un carton jaune. Remplacé par Nkunku, passé faire un Ncoucou.

Thiago Motta (4) : L’histoire ne dit pas si le chant du cygne est une clause de son contrat, mais force est de constater que l’animal ne chante pas juste. Remplacé par Matuidi (5), qui chope un titre avant de se casser à la Juve, histoire de ne pas arriver vierge dans cet immense club.

Rabiot (7,5) : « Aiguisé comme une lame / Pointu comme un couteau / Chauffé comme une flamme / Et puissant comme un fusil d’assaut. » Oui, Rabiot est né en 1995, comme ce tube de Raggasonic.

Daniel Alves (8) : Maîtrise, expérience, charisme, sourire. Un sage poète du terrain. Dani Dan.

Pastore (3,5) : Il est venu faire un petit pont pour le bonheur de la foule puis il est parti. Sean Garnier. Remplacé par Guedes (non noté), preuve que « temps d’adaptation » ne se dit pas pareil en portugais qu’en brésilien. N’est-ce pas, Dani Alves ?

Cavani (4,5) : Quelques escarmouches avec Glik mais pas de mise à mort. Une période de l’année difficile pour les Matadors. Putain de fêtes de Pampelune.

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