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Les notes du PSG contre l’OL féminin

Par Kevin Charnay
Les notes du PSG contre l’OL féminin

Grâce à une défense solide, les Parisiennes ont résisté à l'OL, mais n'ont pas pu faire la différence à cause d'un secteur offensif beaucoup moins inspiré. Et aux tirs au but, Kiedrzynek a perdu son pari.

Paris Saint-Germain

Kiedrzynek (7 jusqu’à 23h31) : Autant de consonnes dans son nom imprononçable que d’arrêts déterminants dans ce match. Et que de tampons pris tout au long du match. Mais cent fois moins que le nombre de larmes qu’elle va verser ce soir.

Geyoro (6,5) : Impériale, que ce soit en défense ou lorsqu’il a fallu passer au milieu de terrain. À seulement 19 ans, elle s’impose déjà comme une patronne en finale de Ligue des champions. Une vraie dévoreuse de ballons. Geyoro charo. On ne parlera pas de son penalty.

Delannoy (6) : Magique, elle a fait disparaître très loin tous les ballons qui traînaient dans sa zone d’action. Sabrina, l’apprentie sorcière.

Paredes (5) : Une vraie schizophrène, cette Irene Paredes, capable d’être aussi bien sereine qu’en panique totale suivant les actions. Dans sa tête, c’est les Fous d’Irene, sans Jim Carrey. Vachement moins drôle du coup.

Perisset (6,5) : On avait envie de lui chanter « Eve, lève-toi » lorsqu’elle s’est blessée dans les arrêts de jeu. Terriblement solide dans son couloir et précieuse sur coup de pied arrêté, elle n’a finalement pas pu se relever. Et elle a énormément manqué en prolongation. Remplacée par Morroni, loin d’être ridicule.

Diallo (5) : Une hyperactive, avec tout ce que ça implique comme avantage et comme défaut. Pleine d’énergie, il était omniprésente en première période. Agacée par le fait de ne plus trop toucher le ballon en seconde, elle s’est laissée aller dans l’engagement. Remplacée par Boquete, avant l’heure de jeu donc. Bill, Boquete.

Cruz (7) : Malgré toute la bonne volonté du monde, des grosses sorties de balles, une facilité technique et des beaux décalages pour ses partenaires, c’était Mission Impossible ce soir pour faire marquer ses potes. Tom Cruz. Épuisée, remplacée à dix minutes de la fin du temps réglementaire par Georges. Plus « Guy, le tueur de l’Est parisien » que Laura, quand elle a décidé d’assassiner Le Sommer dès son entrée en jeu.

Formiga (6) : « Formiga ! Tu étais formidable, j’étais fort minable… » Même si, à 39 ans, la Brésilienne a beaucoup de mérite et a été plus que correcte, Stromae exagère un petit peu.

Lawrence (4,5) : Est encore en train de courir tout droit dans son couloir. Et elle ne s’arrêtera pas tant qu’on ne lui indique pas qu’elle peut s’arrêter. En plus, avec la sortie d’Alex Morgan, elle a trouvé une copine pour l’accompagner dans son footing : Élodie Thomis. Mignon.

Cristiane (5) : Énormément de dribbles de grande qualité, mais difficile pour ses coéquipières de lire son jeu parfois trop compliqué. Comme une femme politique pleine de belles phrases, mais parfois un peu trop complexes pour séduire le plus grand nombre. Cristiane Taubira.

Delie (4) : Plus Marie-Laure Délit que Marie-Laure Délice, surtout sur cette offrande de Cruz complètement gâchée. Pas beau.

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