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  • Supercoupe de l'UEFA
  • Real Madrid-Atlético (2-4)

Les notes de Real-Atlético

Par Mathieu Rollinger
Les notes de Real-Atlético

Avec un Diego Costa ébouriffant et un milieu étouffant, l'Atlético de Madrid a renversé le voisin du Real à l'usure (4-2). Si Karim Benzema s'est montré intéressant, les Français champions du monde ont quant à eux brillé par leur transparence.

Attaquants

Diego Costa

Dans un match, Diego Costa joue au foot, dans la définition stricte du terme, pendant 60 secondes. Ce qui lui suffit pour déchirer un petit filet, être placé de manière opportune afin de signer un doublé et provoquer le but du K-O. Imaginez s’il le faisait pendant les 7140 autres…

Note de la rédaction 8,5
Note des lecteurs 8.5/10

384 note(s)

Votre note /10


Karim Benzema

Avec une égalisation d’une tête délicatement croisée et un penalty provoqué, voilà encore un match qui permettra aux benzemistes les plus coriaces de dire qu’avec Karim, la France aurait gagné 6-2 en finale contre la Croatie. Un KB9 trois étoiles.

Note de la rédaction 7,5
Note des lecteurs 6.7/10

409 note(s)

Votre note /10


Antoine Griezmann

La fête fut belle, au point de ne plus savoir comment elle s’est finie. Résultat : un gros trou noir et un réveil face au maton Casemiro. La cellule de dégriezmann.

Note de la rédaction 2/10
Note des lecteurs 3.3/10

288 note(s)

Votre note /10



Défenseurs

Saúl

Assez piquant pour chatouiller le palais délicat des Meringues, il ne lui aura fallu qu’un coup de fourchette pour faire gicler la magie d’une reprise magnifique du gauche. Vous redemanderez forcément de la Ñíguez pour votre prochain barbecue.

Note de la rédaction 7/10
Note des lecteurs 7.3/10

295 note(s)

Votre note /10


Gareth Bale

Comme son compatriote Geraint Thomas, vainqueur du Tour de France en laissant sur place son ancien leader Chris Froome, Gareth Bale s’est mis en danseuse pour montrer qu’il pouvait être autre chose qu’un simple lieutenant. Problème : ses coéquipiers ont eu du mal à rester dans sa roue quand la route s’est élevée et c’est le maillot blanc à rayures rouges qui a passé le col en premier.

Note de la rédaction 6,5
Note des lecteurs 6.1/10

303 note(s)

Votre note /10


Marcelo

Un jour, on se rendra compte que le vrai fondateur de cette entreprise qui a empilé les trophées n’est autre que son latéral brésilien, même si ce soir les rafales étaient entre les mains des Colchoneros. Marcel d’assaut.

Note de la rédaction 6/10
Note des lecteurs 5/10

288 note(s)

Votre note /10


Sergio Ramos

Sergio déteste le gâchis énergétique, mais ne sait pas s’éclairer autrement qu’avec de la haute tension. Alors quand l’ampoule Costa brille trop fort à l’allumage, c’est à coups de coude qu’il essaye de l’éteindre. Une belle perte d’énergie puisque cela ne lui a pas permis de réduire sa facture au bout du compte.

Note de la rédaction 220 volts
Note des lecteurs 3.1/10

311 note(s)

Votre note /10


Raphaël Varane

Le Real s’attendait à voir débarquer un grand gaillard, qui s’était émancipé et avait appris le sens des responsabilités pendant son séjour en colo. Mais la porte de la Maison-Blanche à peine poussée, il s’est caché à nouveau dans les jupons de son Ramos. Rafikiki.

Note de la rédaction 4,5
Note des lecteurs 3.3/10

315 note(s)

Votre note /10


Lucas Hernandez

Il a voulu boulotter Gareth Bale d’entrée en lui mordant les mollets, mais s’est pété les canines quand le Gallois s’est cabré, partant au galop pour servir Benzema. Ce qui a ensuite coupé toute envie au Français d’aller bouffer sa ligne en attaque.

Note de la rédaction 3,5
Note des lecteurs 4.7/10

260 note(s)

Votre note /10



Milieux

Koke

Un joli plumage, un leadership assumé, et un but pour finaliser le succès des siens, il n’y a de la place que pour un Koke dans la basse-cour madrilène.

Note de la rédaction 6,5
Note des lecteurs 6.6/10

258 note(s)

Votre note /10


Thomas Lemar

Victime d’un canular pour son premier match avec les Rojiblancos, puisque placé à droite, le gaucher a repris des couleurs quand l’adjoint du Cholo, Germán Burgos, l’a autorisé à retrouver son couloir naturel. Car jusqu’ici, Thomas ne se marrait qu’à moitié.

Note de la rédaction 5/10
Note des lecteurs 6.1/10

313 note(s)

Votre note /10



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