CDM 2018
8es
Croatie-Danemark (1-1)

Les notes de la Croatie face au Danemark

Par Jérémie Baron le Dimanche 1er Juillet 2018 à 23:02 Article modifié le Dimanche 1er Juillet 2018 à 23:02

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Après une cagade précoce, mais un premier acte néanmoins séduisant, la Croatie s'est mise en mode veille pour finalement se sortir de la torpeur grâce à un Subašić immense. Au bout des montagnes russes.

Gardien

Danijel Subašić

D’abord laissé bouche bée par la chorégraphie imprévisible des Danois en ouverture de la représentation, l’Asémiste a ensuite fait étalage de son déhanché pour tenir sans souci la cadence amorphe tenue par ses vis-à-vis, avant de faire le show en solo sur un rythme effréné au terme des 120 minutes. Danijel Zumba-sic.

Note de la rédaction Puissance 1000

Note des lecteurs 8.8/10

1106 note(s)

Votre note /10

Défenseurs

Šime Vrsaljko

La première de ses montées dans le camp adverse et le centre-tir foireux qui a suivi ont amené l’égalisation aux siens. Du grand n’importe quoi, comme la succession de consonnes dans son nom de famille.

Note de la rédaction 5/10

Note des lecteurs 5.4/10

738 note(s)

Votre note /10

Dejan Lovren

Doux comme une mayo pour apprendre à sa progéniture à réciter le onze au damier, acéré comme une moutarde pour bloquer le passage à Andreas Cornelius ou Martin Braithwaite. Dijon Lovren.

Note de la rédaction 21000

Note des lecteurs 6.9/10

779 note(s)

Votre note /10

Domagoj Vida

En tort sur l’ouverture du score, il s’est rattrapé en jouant les sauveurs de la patrie face aux assauts rouge et blanc. Démago Vida.

Note de la rédaction 66,10%

Note des lecteurs 6.1/10

647 note(s)

Votre note /10

Ivan Strinić

Pas le blond le plus talentueux de la bande. Pas l’Ivan le plus talentueux de la bande non plus. Josip Pivarić l’a remplacé (81^e) à la suite de vilaines crampes. Et ce dernier a réussi à maintenir le suspense durant la terrible séance finale.

Note de la rédaction 5/10

Note des lecteurs 5/10

568 note(s)

Votre note /10

Milieux

Ivan Rakitić

Si l’on notait l’élégance de chaque protagoniste, Ivan Rakitić aurait la note maximale à chacune de ses apparitions sur un carré vert. Ce soir, le Blaugrana a laissé Bixente Lizarazu sur sa faim, malgré quelques pétards allumés de son pied droit. Mais bon, l’histoire se souvient des cinquièmes tireurs.

Note de la rédaction 6/10

Note des lecteurs 6.3/10

707 note(s)

Votre note /10

Marcelo Brozović

Difficile de se démarquer quand on évolue dans un tel milieu de terrain. Remplacé par Mateo Kovačić (71^e), qui a encore une fois été invité à la beuverie quand tout le monde était déjà pompette, mais a tout de même eu le temps de se flinguer l’épaule.

Note de la rédaction 5/10

Note des lecteurs 5/10

592 note(s)

Votre note /10

Luka Modrić

Non, Luka Modrić n’est pas sous-coté. Et pourtant, il parvient toujours à nous émerveiller à chaque sortie. Aujourd’hui, l’état de grâce s’est stoppé le temps d’une course d’élan et d’une tentative qui ne lui ressemble pas. Mais finalement, l’ascenseur émotionnel s’est arrêté au bon étage. Pas besoin qu’on lui dessine un mouton, le petit prince de Zadar trace lui-même son propre chef-d’œuvre, avec ses instants de grâce et ses cataclysmes.

Note de la rédaction 6/10

Note des lecteurs 6.2/10

758 note(s)

Votre note /10

Ivan Perišić

Sans parvenir à noircir la feuille de match, l’Intériste aura au moins profité de cette partie pour enseigner le concept d’ambidextrie aux latéraux danois. Remplacé par Andrej Kramarić (97^e), lequel a réussi à frustrer Schmeichel depuis les onze mètres.

Note de la rédaction 5/10

Note des lecteurs 5.1/10

575 note(s)

Votre note /10

Ailiers

Ante Rebić

Une pierre précieuse dont Henrik Dalsgaard, Jonas Knudsen, mais aussi Kasper Schmeichel et Mathias Jørgensen n’ont pu que constater la rutilance. Ante Rubis.

Note de la rédaction 185 carats

Note des lecteurs 7.1/10

658 note(s)

Votre note /10

Attaquants

Mario Mandžukić

Les Vikings avaient fait fort avec un but de raccroc dès la 2^e minute, alors il a fait trembler les filets de manière encore plus ignoble, 60 secondes plus tard. À part ça, le double M s’est écharpé avec ses gardes du corps, a attaqué, défendu, et a terminé lessivé : tout va bien dans le meilleur des Mandz. Il a cédé sa place à Milan Badelj (108^e), sorti du banc pour louper son péno.

Note de la rédaction 5,5

Note des lecteurs 5.8/10

610 note(s)

Votre note /10