S’abonner au mag
  • Turquie
  • Süper Lig
  • Le point têtes de Turc

Gomis en forme, Dória et Cissokho aussi

Par Florian Cadu
Gomis en forme, Dória et Cissokho aussi

Yoan Gouffran, Bafétimbi Gomis, Dória... Le championnat turc est devenu une véritable terre d'accueil pour les anciens de Ligue 1. Chaque week-end, sofoot.com fait le point sur nos chouchous installés en Turquie.

Younès Belhanda, Bafétimbi Gomis et Sofiane Feghouli (Galatasaray)

Et pan, un triplé du Bafé accompagné d’une passe décisive. Énormissime une semaine après son malaise, l’attaquant, qui a aussi touché le montant, a largement contribué à la raclée administrée par Galatasaray à Bursaspor (5-0). « La Ligue 1 me plaît, j’ai encore quelques années devant moi et je ne ferme pas la porte » , a préféré avertir la Panthère noire au micro de Radio France Bleu. Les supporters du club tremblent. Mais en cas de départ du Français, ils pourront toujours compter sur Belhanda, auteur d’une assist pour… Gomis. L’ancien de Montpellier a sorti une grosse prestation, comme Feghouli et le reste de l’équipe. Il a de la gueule, ce leader provisoire.


Paul Le Guen (Bursaspor)

Quand il y a un vainqueur, il y a automatiquement un vaincu. Le dernier en date de Galatasaray s’appelle Bursaspor, une teamentraînée par Paul Le Guen au cas où certains l’auraient oublié. Avec une manita reçue dans les gencives, difficile de dire que le coach a été inspiré ce week-end. Son 3-5-1-1 n’a absolument pas gêné l’adversaire. Enfin si : pendant dix minutes.


Umut Bulut et Asamoah Gyan (Kayserispor)

L’un titulaire, l’autre remplaçant. C’est la règle cette saison à Kayserispor : Bulut constitue le premier choix en pointe (23 présences dans le onze) tandis qu’Asamoah en est son substitut (aligné d’entrée une seule fois). Logique ? En tout cas, Umut, qui a disputé l’intégralité de la partie contre Kasımpaşa (succès difficile 3-2), a transformé son penalty en fin de match. De son côté, Gyan est entré à un quart d’heure du terme pour louper la moitié de ses passes. Pas grave : l’essentiel, ce sont les trois points.


Rémy Riou (Alanyaspor)

Les premiers mois galère, c’est terminé. Désormais, Riou est le portier d’Alanyaspor et vient de disputer sa neuvième rencontre. Sansclean-sheet au bout, puisqu’il a encaissé deux buts en moins de dix minutes sur la fin. Résultat : lui et ses potes se sont inclinés à domicile contre Trabzonspor (1-2) malgré une imposante présence aérienne et deux arrêts. Malheureusement moins bien que son confrère Onur Kıvrak et ses huit (!) interventions.


Adrien Regattin (Osmanlıspor)

Toujours là, Adrien. Une partie sérieuse dans un match sans but devant Antalyaspor. En fait, c’est surtout Luíz Carlos, le latéral brésilien évoluant derrière Regattin, qui a brillé. Généreux et collectif dans l’effort, l’ex du TFC n’a de toute façon pas besoin d’être dans la lumière pour faire le boulot. En revanche, il peut regretter le penalty raté de Sokol Cikalleshi. À noter que William Vainqueur est entré à la mi-temps dans le camp d’en face, sans réussite particulière.


Dória, Aly Cissokho, Khalid Boutaïb et Nacer Barazite (Yeni Malatyaspor)

Un carré de choc. Le premier, passé par l’Olympique de Marseille, a ouvert le score au détriment de Karabükspor dès la 23e minute. Le deuxième, passé par l’Olympique lyonnais, a offert le but du break à l’heure de jeu au troisième, passé par le Gazélec Ajaccio et Strasbourg. Le quatrième, passé par l’AS Monaco (aucun match en Ligue 1 cependant), a fait son apparition à la pause et a achevé le rival du jour à la 69e minute. Rangé, plié.


Yoan Gouffran, André Poko et Axel Ngando (Göztepe)

Beaucoup de joueurs que la Ligue 1 connaît, mais aucun héros. Car à Göztepe, celui qui a attiré toutes les louanges s’appelle Demba Ba, seul buteur de la confrontation avec Sivasspor sur un missile à tête chercheuse. Gouffran, lui, n’a pas fait d’étincelles (un tir, un carton jaune, 91% de passes réussies) et est sorti à la 76e. Idem pour le plus solide Poko, lui aussi averti, mais qui n’a pas terminé sur le banc. Quant à Ngando, il ne s’est pas levé de son siège. Toujours pas de titularisation pour lui.


Henri Saivet, Carl Medjani, Delvin Ndinga et Thievy Bifouma (Sivasspor)

Ils ont subi la loi de Ba. Il faut dire que Saivet, remplacé dès la mi-temps, n’a pas proposé grand-chose pour lutter. Bifouma n’en a pas vraiment eu le temps (vingt minutes de jeu), alors que Ndinga et Medjani ont plutôt tenu leur rang dans leurs zones défensives. Pas suffisant pour aller chercher un résultat.


Vágner Love (Beşiktaş)

Que faire quand on est le coéquipier de Ricardo Quaresma ? Lui donner la sphère et observer. L’avant-centre était déjà sorti lorsque le Portugais s’est offert un magnifique doublé, battant Fenerbahçe presque à lui tout seul. Love le savait, alors il n’a pas daigné se fatiguer. Normal.


Mathieu Valbuena et Mauricio Isla (Fenerbahçe)

Pendant que l’OM gobait un 3-0 dans la face lors du classique, Valbuena remplaçait Isla dix minutes avant le coup de sifflet final sur la pelouse de Beşiktaş (3-1). De quoi rendre les supporters phocéens nostalgiques ? Absolument pas.

Dans cet article :
Dans cet article :

Par Florian Cadu

Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

Dernières actus

20
Revivez France-Belgique (2-0)
Revivez France-Belgique (2-0)

Revivez France-Belgique (2-0)

Revivez France-Belgique (2-0)

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • Pronostic Foot 100% Gratuits ! + de 100 Matchs analysés / semaine

Beşiktaş

Umut Bulut